Je suis une jeune femme de 24 ans qui adore pratiquer la fellation, j’aime quand les hommes font les gros pervers et sont durs avec moi. Je suce gratuitement avec mon collier et ma laisse. Tu peux me promener à quatre pattes partout chez toi.
J’ai un penchant pour l’humiliation (crachats, éjaculation faciale, insultes par groupe de mecs..)
Je suis donc une esclave et je cherche mon maître donneur d’ordres, physique peu important mais gros sadique de préférence.
Vous parlez d’un goût pour l’exploration de la domination et de l’humiliation dans votre vie intime. Que représente pour vous cette dynamique et comment cela vous aide-t-il à mieux comprendre votre personnalité ?
Pour moi, cette dynamique est une manière d’explorer des facettes profondes de ma personnalité, des envies qui me permettent de sortir des conventions et d’assumer pleinement ce que je ressens. Il s’agit avant tout d’une forme de lâcher-prise et de confiance. En choisissant cette voie, je me découvre plus authentique et connectée à mes désirs, ce qui est très enrichissant sur le plan personnel.
Les pratiques que vous décrivez nécessitent une forte dose de consentement et de communication. Comment veillez-vous à établir des limites claires et à maintenir une relation équilibrée ?
Absolument, le consentement et la communication sont primordiaux. Avant toute chose, je prends le temps de discuter avec mes partenaires pour établir des règles claires, des limites non négociables et des « safewords » pour interrompre l’action si nécessaire. Je crois que l’équilibre vient d’un respect mutuel : même dans des dynamiques asymétriques comme celles que je vis, le respect est la base.
Vous semblez avoir une vision très assumée de votre sexualité. Quels conseils donneriez-vous à d’autres personnes qui souhaitent explorer des pratiques similaires mais hésitent à s’ouvrir à leurs désirs ?
Je leur dirais de commencer par prendre le temps de se connaître et d’accepter que leurs envies sont valides, quelles qu’elles soient, tant qu’elles respectent les principes de consentement et de sécurité. Ensuite, il est essentiel de trouver des partenaires avec qui il est possible de dialoguer librement, sans jugement. Enfin, je leur conseille de se renseigner via des lectures, des communautés ou des professionnels qui peuvent les guider dans une exploration saine et épanouissante.